Salut,

Malgré un motivation assez médiane, j’ai avancé sur mon Pfff… Pffff.. Pfffffffeil !

CAN DEL ORO PATINE (expression italienne que l’on peut traduire par : « Quand il est l’heure d’appliquer la patine »)

Petit rappel pour ceux qui n’ont suivi pas les chapitres précédents (… pourtant passionnants) : je vais essayer de faire un avion assez fatigué. J’ai peint certaines partie au metal cote ( Humbrol 27001) puis appliqué du maskol. Après trois couches de peintures vert-noir, j’ai retiré le maskol pour simulé des éclats dans la peinture.

Même traitement pour la partie interne des hélices (en faisant bien gaffe de ne pas les mélanger)

Pour être franc, j’ai eu un peu de mal à enlever le maskol sur le fuselage. Du coup, j’ai dû faire des retouches au metal cote sur du plastique remis à nu lors du grattage

Après cela, j’ai appliqué :
– du klir sur tout l’avion
– un jus composé d’un gris sombre (Humbrol 125 US DARK GREY) mélangé à de l’essence F dont j’ai largement badigoné le kit

24 heures plus tard, j’ai essuyé le kit avec de l’essuie-tout imbibé d’essence F. Ce faisant, le surplus de jus a disparu sauf dans les jointures et les recoins. Même si les photos, ne rendent pas très bien, je suis assez content du résultat car il correspond à ce que je voulais faire (… pour une fois).

LES TRUCS QUI FACHENT

J’ai fini la peinture de la verrière. Je ne vous cache pas que cette dernière est la raison du faible avancement du kit. Comme je suis un peu fâché avec le masquage des verrières, j’ai pris l’habitude de peindre les montants à main levé. Toutefois, ce qui est assez simple pour un jet est un véritable challenge sur ce type de warbird. Je tiens à remercier Jean-Luc (zero) qui m’a redonné le courage de surmonter le masquage complexe de mon Do335

Enfin, j’ai collé les trappes de train à la colle à bois.

A bientôt pour de nouvelles aventures.

CIAO / Frédéric